Parti

À propos Coordonnateurs régionaux et provinciaux Lieutenants régionaux États financiers

Plateforme

Liberté d'expression Finances publiques Économie Questions autochtones Anciens combattants Identité canadienne Voir plus...

«Ça fait tellement de bien d'appuyer un parti avec des principes clairs, qui les défend ouvertement, avec passion et conviction!»

Achetez une Adhésion Faites un don

Inscrivez-vous à notre infolettre

notre infolettre

Partagez sur les médias sociaux

Communiqué - Bernier puni par le tribunal pour son opposition aux mesures Covid

Winnipeg, Man., 16 mai 2023 — Le chef du Parti populaire du Canada et candidat à l'élection partielle de Portage-Lisgar, Maxime Bernier, a comparu aujourd'hui devant la Cour provinciale du Manitoba pour contester son arrestation injuste du 11 juin 2021 et d'autres amendes connexes reliées aux mesures covid.

Le procès devait initialement durer trois jours. Afin d'accélérer les procédures et d'éviter des dépenses inutiles aux contribuables manitobains, M. Bernier a conclu un accord avec la Couronne pour admettre tout ce qui est inclus dans l'exposé conjoint des faits, à savoir qu’il s'est rendu au Manitoba sans se mettre en quarantaine et qu'il a organisé des réunions publiques en violation des restrictions en vigueur concernant la covid. Il ne s'agit pas d'un aveu de culpabilité, qui impliquerait une violation du Code pénal plutôt que des restrictions provinciales temporaires.

M. Bernier a reçu quatre amendes : défaut d'isolement à Niverville, défaut d'isolement à St-Pierre-Jolys, rassemblement à Niverville, rassemblement à St-Pierre-Jolys. La Couronne a été contrainte d'abandonner les deux accusations relatives à l'isolement, car elle a illégalement demandé à M. Bernier son statut vaccinal sans l'informer au préalable de son droit à un avocat.

Vers la fin du procès, le chef du PPC a eu l'occasion de s'adresser à la cour.

"C'était une période sombre au Canada, je suis fier de ce que j'ai fait", a-t-il déclaré au juge. "C'était la première fois dans l'histoire du Canada qu'un homme politique était jeté en prison pour un acte non criminel. C'est un exemple embarrassant de répression politique".

"Je dois admettre que j'ai commis une erreur. Je n'aurais pas dû organiser la réunion à l'extérieur. J'aurais dû le faire dans un Walmart où ce rassemblement aurait été autorisé!"

Le juge a finalement décidé que le temps passé en prison par M. Bernier était une punition suffisante pour l'une des amendes. M. Bernier a été invité à payer une amende de 1300 dollars, en plus des frais et des surcharges s'élevant à environ 2000 dollars.

M. Bernier a demandé à faire un don de bienfaisance à la Manitoba Association of Women's Shelters pour aider les victimes de violence domestique au lieu de payer son amende. Le juge a refusé la demande de M. Bernier, exigeant qu'il effectue le paiement au gouvernement du Manitoba dans les 30 jours.

Lorsqu'on lui a demandé comment il pensait que ses nouveaux électeurs de Portage-Lisgar réagiraient à la décision du tribunal, la réponse de M. Bernier a été simple :

"Je pense qu'ils seront très fiers! Les électeurs de Portage-Lisgar se sont fermement opposés à ces restrictions inutiles et tyranniques. Ils savent que j'ai été le seul politicien fédéral à défendre nos droits et nos libertés tout au long des années de la pandémie, même si l'establishment politique me menaçait d'amendes ou m'arrêtait. J'étais prêt à faire ce qui était juste.”

Contact : Pour plus de renseignement, svp écrivez à [email protected]

-------------------------

Inscrivez-vous à notre infolettre gratuite si ce n'est pas déjà fait!